Pourquoi Bioshock Infinite est un jeu de merde ?

C’est vrai, c’est un fait, Bioshock Infinite est un infâme tas de merde qui se prend pour un jeu vidéo.

Certes, une belle merde bien emballée, la DA étant le seul truc positif de cet étron, je le dis d’entrée de jeu comme ça je peux me concentrer sur le reste : la haine pure et viscérale que j’ai envers cette daube.

Pourquoi maintenant, pourquoi deux ans après la sortie de ce caca ? Parce qu’encore aujourd’hui j’ai pu lire sur internet, endroit où l’information est pourtant censée être rapide et la vérification des faits instantanée, que Biocrotte Infinul est un bon jeu. Et ce n’est malheureusement pas un cas isolé, puisque beaucoup de personnes semblent être d’accord sur ce point. Et la j’ai envie de dire : « Qu’est ce que c’est que ce bordel ? »

Pour ceux qui n’ont pas « joué » a cette merde, nous allons essayer ensemble de décrypter ce qui fait de ce jeu la diarhée vidéoludique la plus overhypée de ces dernières années. Les autres qui ont taté le jeu et me comprennent déja, restez pour la haine gratuite.

Et si vous faites parti de ceux qui ont aimé Biocock Infamite, je vous invite a aller vous faire sodomiser par des alligators et vous suicider à coup de krokodil. (Notez que ce jeu sur les mots est plus intéressant que l’entièreté du scénario de Infinite).

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Même la shneck d’Elizabite est plus profonde que le scenario de B:I


Qui se souvient quand les jeux avaient du gameplay ?

Ah les FPS, ce genre qu’on fout partout quand on a pas d’idées en se disant que c’est bon, ça passe tranquille, on met la vue a la première personne et des guns, ez pz lemon squeezie et cyprien, sauf que non. Juste non. Des FPS, j’en ai vu ma bonne dame, du très bon jusqu’au bas du gouffre, pour vous dire, j’ai même joué a des FPS sur consoles, je me sens sale rien que de devoir dire ça, mais ce n’est rien comparé a l’abîme qu’est B:I.

Mou et répétitif sont les mots qui décrivent le mieux le calvaire qu’est B:I, une pure daube générique ou l’amusement semble être un concept extra-terrestre. Les combats se suivent et se ressemblent, les guns ont autant de feeling qu’un pistolet à eau sans eau dedans, les pouvoirs à la con sont même pas fun.

Et j’ai failli oublier l’IA, un peu comme les devs du jeu en fait.

Dès lors, difficile de s’immerger dans son univers puisqu’on s’endort PENDANT DES PUTAINS DE COMBATS. Tu te mets en mode pilote automatique en éspérant que quelque chose te sauve de l’arrivée immintente du dealer de sable, mais rien ne te sauvera. RIEN.

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Cet été, refait un des niveaux de B:I dans ton jardin.


Zomeugé le sénariau é tro dipe

A partir d’une ou deux heures de supplice, tu commences a te dire que tout ce bruit sur Infinite doit, de manière assez évidente, émerger d’ailleurs que de son gameplay a l’odeur rappelant fortement celle d’un reste de buritto trop epicé en immigration vers la frontière de ton calecon.

AHAHAHAH. Le con. J’y ai cru. Entre les subplots dont on se bat les couilles sur la table tellement fort que l’institut sismologique du coin commence à s’inquiéter, et la trame principale générique au possible, ça commence à faire beaucoup.

Commençons par les personnages principaux, niveau originalité de ouf, on a vu un poil mieux, entre Booker tourmenté par son passé oh la la la et Elizabeth la beautiful strong black woman who don’t need no man (mais fais pas ton goujat aide moi quand même stp), en terme de gros clichés de merde, on peut pas dire que le jeu rate son coup. OH BAH TIENS BOOKER EST LE PERE D’ELIZABETH ???? NOOOOOOON ???

« Clairement c’était un plot twist auquel je ne m’attendais pas »  -La plupart des fdp au QI pas plus grand que leur age.

Serieux ? C’est ça un des gros reveals de la fin ? Le truc que n’importe qui n’ayant pas eu double ration de chromosomes à cramé dès la première cinématique où tu vois Booker devant un berceau ? SERIO ?

Parlons en justement de cette fin, équipée de ce que j’appelerais « l’effet Inception » : dès que c’est un peu compliqué sur les dernières minutes, d’un coup c’est « mind-blowing de ouf ». Alors que Inception avait au moins le mérite d’être un excellent divertissement, Bioshock est une merde chiante.

Des multiverses couplés à un time loop ? C’est tout ce que vous avez trouvé pour boucler cet étron ? Mais non c’est pas de la flemme ok, c’est trop la complexitude, c’est trop ouf en fait ça explique plein de choses wooooow, on va pouvoir se circlejerk dessus pendant des années sur les forums à trouver des théories alleeeeez.

Le vrai twist, c’est qu’en fait c’était juste pour refourguer du DLC, puisqu’avec cette facilité on peut bien faire ce qu’on veut du reste de l’univers. Après tout, avec tous ces cons qui ont apprécié le jeu, pourquoi se faire chier ?

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Peut être y’aurait-il un univers parallèle où tout le monde reconnaît la médiocrité de ce jeu ?


Bref, vous l’aurez compris, j’aime pas ce « jeu ». Au final j’ai pas lâché un gros pavé, mais pour faire du contenu faut étudier un matériau de base conséquent, c’est pas avec ce FPS moisi au script pseudo-pompeux que je vais pouvoir taper 50 pages. Enfin si, je pourrais insulter un par un tous ceux qui ont déclaré publiquement aimer ce jeu, mais la on risque d’en avoir pour un moment, alors je vais plutôt un bon gros doigt d’honneur collectif à tous ces connards.

Au final, Bioshock Infinite est a l’industrique du jeu vidéo ce que Radiohead est à la musique : Chiant, générique, « 2deep4u » et honteusement overhypé.

Verdicto Finalito : 1 doigt dans le cul de Ken Levine sur 20.